Questions / Réponses

Compte tenu de son approche énergétique, la médecine traditionnelle chinoise peut compléter et soutenir divers traitements thérapeutiques. Au contraire, l’intérêt que l’on peut y voir, c’est le travail sur les effets secondaires déclenchés par certains médicaments, certes indispensables dans certains cas, mais difficiles à assimiler. La médecine traditionnelle chinoise a-t-elle des effets secondaires ? Il n’existe pas d’effets secondaires en tant que tel. Cependant, après acupuncture, il n’est pas rare de constater sous 48 heures des réactions de l’organisme telles que courbatures, mal de tête ou nausée: Mais en aucun cas ces symptômes ne vont perdurer. Nous vous rappelons qu’il n’y a aucune injection de produit. C’est le corps qui s’autorégule par rapport à la stabilité du QI. Concernant la pharmacopée, composée essentiellement de plantes, des réactions allergiques sont rarissimes car nous sommes encore et toujours dans des processus naturels. Mais il est vrai que, même si ce ne sont que des plantes, les dosages à respecter sont très importants en fonction des pathologies. Mais comme ce sont des substances qui ont été synthétisées et augmentées par l’homme, le corps sera les assimiler à leur juste valeur.

Il n’existe pas d’effets secondaires en tant que tel. Cependant, après acupuncture, il n’est pas rare de constater sous 48 heures des réactions de l’organisme telles que courbatures, mal de tête ou nausée: Mais en aucun cas ces symptômes ne vont perdurer. Nous vous rappelons qu’il n’y a aucune injection de produit. C’est le corps qui s’autorégule par rapport à la stabilité du QI. Concernant la pharmacopée, composée essentiellement de plantes, des réactions allergiques sont rarissimes car nous sommes encore et toujours dans des processus naturels. Mais il est vrai que, même si ce ne sont que des plantes, les dosages à respecter sont très importants en fonction des pathologies. Mais comme ce sont des substances qui ont été synthétisées et augmentées par l’homme, le corps sera les assimiler à leur juste valeur

La médecine traditionnelle chinoise possède quatre moyens fondamentaux afin d’assurer des thérapies. Ces moyens sont la médecine manuelle, l’acupuncture, la pharmacopée et la diététique. Pourquoi choisir telle ou telle méthode? Dans un ordre chronologique, la médecine manuelle aura une efficacité rapide et immédiate avec une profondeur de traitement limitée. L’acupuncture aura des résultats un peu moins rapides mais avec des réactions de l’organisme pouvant être sous deux jours. Par contre, c’est la quantité d’interventions qui, au fil du temps, permettra la stabilité de la personne. A ce propos, il est important de souligner qu’en Chine, en milieu hospitalier, 10 à 15 séances d’acupuncture, (à raison d’une séance tous les 2 ou 3 jours) sont une pratique courante En ce qui concerne la pharmacopée, là, le traitement est à plus long terme. Il n’y aura pas de résultat immédiat. Le bienfait se ressentira sous une dizaine de jours. Cependant, la profondeur du traitement permettra de stabiliser à long terme l’individu. Pour la dernière partie qu’est la diététique, là c’est un traitement au fil des années qui fera que l’individu sera touché profondément et pourra prévenir sur ses terrains de fragilité. En conclusion, en occident, c’est un mélange (agglomérat) de ces quatre méthodes, qui permettra d’apporter une stabilité dans le temps sur le plan thérapeutique en répondant au mieux aux exigences de chacun en terme de temps et d’argent.

Dans ce cas précis, la médecine traditionnelle chinoise peut être un énorme soutien pour arrêter de fumer. Le travail se fera sur deux axes principaux que sont l’évacuation des toxines et la stabilité émotionnelle. Il est vrai qu’au bout d’une quinzaine de jours de traitement, à raison de deux séances par semaine, le besoin en cigarettes se voit inhibé. Il serait mal venu d’allouer l’arrêt de la cigarette à telle ou telle thérapie, en l’occurrence à la médecine traditionnelle chinoise où son action sera de soutenir la personne dans les moments difficiles. En finalité, c’est la volonté de l’individu qui aura raison de ce défi

La médecine traditionnelle chinoise est une médecine en tant que telle, donc elle aura une approche sur toutes les maladies. Ce que nous pouvons dire cependant, c’est qu’elle aura un axe de travail beaucoup plus important sur les maladies chroniques que sur les maladies aigues. Malgré tout, en Chine, elle intervient aussi dans les cas aigus. En occident, il est préférable, compte tenu de la performance des médecins allopathiques dans le monde viral et traumatismal, de réserver nos efforts à la chronicité des maladies car notre approche est beaucoup plus orientée sur la cause que sur la conséquence. C’est pour cette raison que la complémentarité de la médecine traditionnelle chinoise et de la médecine allopathique est indéniable.

Le risque de contamination par acupuncture est quasiment nul pour deux raisons essentielles: Nous utilisons uniquement des aiguilles stériles en acier et argent à usage unique. Les aiguilles d’acupuncture ne tranchent pas. Elles repoussent les chairs ce qui a comme conséquence d’éviter tout saignement. Le contact avec le sang est donc minime.

Comme nous le savons, l’amincissement n’est pas lié exclusivement à un problème de métabolisme. Un travail sur le plan émotionnel doit être fait. La particularité de la médecine traditionnelle chinoise va être, par les techniques que sont l’acupuncture, la pharmacopée ou la médecine manuelle, de régulariser les plans énergétiques pour le métabolisme mais aussi d’intervenir sur les problèmes émotionnels. C’est pour cette raison que mincir peut aboutir à un traitement de fond et de forme qui permettra à chacun, non seulement d’éliminer les quelques kilos en trop, mais surtout de stabiliser durablement les émotions, origines fondamentales de la prise de poids. Nous citerons deux exemples pour argumenter ces propos: Un mal-être peut amener une personne à faire de la boulimie, c’est à dire à manger de façon irrationnelle, ce qui va la conduire à une prise de poids logique compte tenu de la quantité du bol alimentaire. Dans ce cas, la perte de poids sera un élément important mais la stabilité des émotions restera le point clé pour la stabilité de l’organisme dans le temps. Un mal-être peut conduire une autre personne, non pas à changer son bol alimentaire, mais va créer une stagnation du métabolisme qui la conduira à dire en permanence « Je ne comprends pas, je grossis mais je ne mange rien ». Ici, nous ne pouvons en aucun cas aborder la personne de la même façon. Le travail sur le métabolisme sera prioritaire, tout au moins dans un premier temps. Le rétablissement de la circulation de l’énergie sera indispensable pour débloquer les liquides organiques, le sang et l’énergie – Cette stagnation énergétique est une stagnation que les femmes connaissent bien puisqu’elles ressentent souvent mensuellement ce phénomène, juste avant d’être indisposées. – Puis, lorsque la situation sera rétablie, le travail sur l’axe émotionnel prendra toute sa raison d’être.